La collection maudite de Saint Laurent

Yves Saint Laurent ne dessinait pas seulement des tenues extraordinaires et des robes fabuleuses. Dans le secret de sa création, il multipliait aussi les croquis érotiques, qu’il gardait pour lui ou offrait à ses proches. Que sont devenus ces centaines de dessins sulfureux ? Vanity Fair a remonté la piste d’une collection interdite, où le soufre se mêle à la passion.

Extrait :

Fabrice Thomas n’a pas oublié les derniers mots qu’il a lancés à Yves Saint Laurent : « J’étouffe. J’ai besoin de respirer. Je m’en vais. » C’était au début du printemps 1992. Il avait 30 ans, un physique à la Marlon Brando, pas d’emploi fixe mais des rêves plein la tête : devenir acteur, jouer avec Brialy, tourner un jour pour Coppola.

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