Durant des décennies, Wolfgang Beltracchi a réussi à faire passer leurs tableaux pour des chefs-d’œuvre, jusque là inconnus, de grands maîtres comme Max Ernst, Georges Braque ou Raoul Dufy. Condamné à six ans de prison par la justice allemande en 2010, l’artiste s’est confié à Vanity Fair dès sa libération.
Extrait :
Que passe-t-il dans la tête d’un faussaire ? Comment parvient-il à emprunter le talent d’un autre en retenant son propre geste ? Quel sentiment éprouve-t-il en voyant son travail confondu avec celui du maître ? A propos de l’art, Romain Gary écrivait : « Dans un monde où le trucage et les fausses valeurs triomphent partout, la seule certitude qui nous reste est celle des chefs d’œuvres. »
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